Justice pour les lycéens de Mantes-la-Jolie
e jeudi 6 décembre 2018, des incidents sont survenus près du lycée Saint Exupéry de Mantes-la-Jolie pendant une journée de mobilisation lycéenne contre les réformes du bac et des lycées.
e jeudi 6 décembre 2018, des incidents sont survenus près du lycée Saint Exupéry de Mantes-la-Jolie pendant une journée de mobilisation lycéenne contre les réformes du bac et des lycées.
La FSU a appris avec indignation et consternation l’arrestation violente d’Olivier Sillam par les forces de l’ordre le 9 mai à Nice lors de la journée de mobilisation contre le projet de loi de la Fonction publique.
Monsieur le Premier Ministre, La FSU tient à vous faire part de son indignation sur la manière dont s’est déroulée la manifestation du 1er mai à Paris.
Si les annonces faites par le Président de la République comportent beaucoup d’imprécisions, il a par contre clairement confirmé son choix d’orientation politique et les transformations en cours.
La Loi "Pour la liberté de choisir son avenir professionnel" aura de graves conséquences sur les diplômes de l’Education nationale et sur la formation de tous les jeunes engagés dans cette voie.
Le Ministre de l’Éducation nationale a décidé de recevoir toutes les organisations syndicales. Reçue aujourd’hui, la FSU a tenu à redire au Ministre son désaccord profond avec le projet de loi mal nommé de l’École de la confiance actuellement en discussion au parlement.
Les enseignantes et enseignants se mobilisent face à la politique éducative, rétrograde et libérale, conduite actuellement à marche forcée au mépris de leur expertise professionnelle et déjà sanctionnée par l’ensemble de la communauté éducative.
Dans une interview du 27 mars au Parisien, le Ministre de l’Éducation nationale juge que si certain-es sont en colère et se mobilisent c’est parce que d’autres mentiraient... Une défense bien peu crédible car les textes et les faits ne mentent pas eux.
Aujourd’hui, partout en France, des mobilisations ont rassemblé, à l’appel de plusieurs organisations syndicales dont la FSU, des dizaines de milliers de personnes : enseignant-es, personnels de l’Education, parents d’élèves, organisations de jeunesse.
Le ministère de l’Éducation nationale poursuit sa politique éducative rétrograde et libérale sans prendre en compte ni l’expertise professionnelle des acteurs de terrain, ni les avis de leurs organisations syndicales, ni ceux de l’ensemble de la communauté éducative.